CENTRE NATIONAL D'ETUDES SPATIALESGroupe d'Etudes des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés
NOTE TECHNIQUE |
- Normes internes | : 145 traits/mm |
- Normes ANSI | : 160 traits/mm |
Synthèse :
En considérant que les trois courbes de FTM évoquées précédemment se combinent par multiplication, on voit que l'on peut estimer que dans la direction la plus favorable ( parallèle aux traits du réseau ), l'information correspondant aux fréquences spatiales supérieures à 80 mm-1 n'est pas exploitable ( FTM de l'ordre de 25 % ou moins ).
Mesure globale empirique :
Afin de réaliser une évaluation directe de la chaîne optique complète, une série de photographies de mires du type évoqué précédemment a été réalisée ; le film a été soigneusement développé et les négatifs examinés au microscope.
Dans le meilleur des cas, parmi des dizaines d'essais, la fréquence spatiale maximale décelable a atteint la valeur de 60 traits/mm, l'information étant noyée dans le bruit au-delà.
Compte tenu de l'étape de digitalisation du négatif, décrite plus loin, il a été établi
empiriquement qu'en fait on pouvait considérer une fréquence limite utile de :
µ max.= 40 mm-1, correspondant à une résolution :
R = 25 µm.
4.3. - DEVELOPPEMENT DES CLICHES -
La procédure de traitement des clichés doit être aussi standardisée que possible, afin de pouvoir comparer quantitativement entre eux les spectres extraits. Ceci implique, entre autres, que le développement soit fait de la même façon et avec les mêmes produits pour tous les clichés, même si cela se fait au détriment de la qualité de certains négatifs.
En effet, contrairement à la digitalisation et au traitement informatique, cette étape est irréversible et doit donc être traitée de manière à produire un matériel de base (négatifs) aussi homogène que possible. Ceci implique des choix correspondant au plus grand nombre de cas possible. En particulier, il apparaît dans la documentation ILFORD ( voir l'annexe 2 ) que le révélateur réalisant le meilleur compromis entre finesse de grain et rapidité est le ID-11 dilué.
Sachant que dans l'exploitation des clichés on rencontrera aussi bien des problèmes de saturation, avec les sources lumineuses puissantes, que des problèmes de détection liés à des sources ténues, il est recommandé d'adopter le mode de développement suivant :
Utilisation du révélateur ID-11 dilué ( 1 + 3 ), à une température constante de 20°C, avec agitation intermittente pendant 15 minutes, dans l'obscurité complète. Le produit ne peut être utilisé qu'une fois.
En ce qui concerne le fixage et le lavage, il est recommandé d'utiliser le fixateur ILFORD HYPAM et le mode de lavage décrit au § 8 de l'annexe 2.
4.4. - NUMERISATION DES CLICHES -
L'appareil utilisé est un analyseur/restituteur OPTRONICS C4500. Il permet de réaliser la numérisation sur bande magnétique d'un négatif transparent, avec les réglages suivants :
pas d'échantillonnage : 200, 100, 50, 25 ou 12,5 microns.
Taille de la fenêtre : 200, 100, 50, 25 ou 12,5 microns.
Echelle en niveaux de gris : linéaire ou logarithmique.
En ce qui concerne l'échantillonnage, on voit que l'on peut satisfaire les conditions de Shannon correspondant à la limite de résolution R = 25 µm trouvée plus haut, en utilisant un pas d'échantillonnage et une taille de fenêtre de 12,5 microns. Ce réglage garantit donc l'absence de perte d'information spatiale utile.
En fait, étant donné que les sources lumineuses décelables sur le cliché ne sont pas ponctuelles, on vérifie expérimentalement ( au moins pour toutes les numérisations réalisées jusqu'à présent ) qu'aucune perte d'information ni aucune distorsion n'est décelable si l'on passe à la valeur de 25 µm pour le pas d'échantillonnage et la taille de la fenêtre. Cette constatation prend toute sa valeur quand on considère le prix de revient d'une numérisation à 12,5 µm ( plus d'une heure d'OPTRONICS pour un cliché ).
En ce qui concerne l'échelle, le numériseur mesure en fait la transmittance T du négatif. En échelle linéaire, la dynamique est fixe et correspond à la plage de densités optiques de 0 à 3D. En revanche, en échelle logarithmique, la mesure est directement proportionnelle à la densité optique ( d = log10 1/T ), et la dynamique est réglable à l'aide de deux paramètres :
valeur initiale : par pas de 0,1 D à partir de 0.
plage : 0,5D, 1D, 2D ou 3D.
La densité optique des négatifs utilisés peut varier entre 0 et environ 2D. A titre d'exemple, les mesures suivantes ont été effectuées au micro-densitomètre :
Fond du film : 0,1 D
Pleine lune : 1 D ( sans réseau )
On en déduit qu'un réglage standard correspondant au traitement normal doit être, pour utiliser au mieux la dynamique du numériseur :
Echelle logarithmique
Valeur initiale : OD
Plage : 2D.
Cependant il faut noter que, contrairement au développement, cette opération n'est pas irréversible, et que l'étude particulière d'un cliché intéressant en utilisant au mieux les ressources d'OPTRONICS sur le plan de la dynamique d'image reste toujours possible.
5.1. - DESIGNATION DE LA SOURCE A ETUDIER -
Une fois numérisé, un cliché se présente sous la forme d'un fichier séquentiel sur une bande magnétique ( 9 pistes, 1600 bpi ). Le premier besoin consiste donc en une visualisation de l'image sur un écran, afin de pouvoir désigner interactivement la source lumineuse dont on veut extraire le spectre.
Un cliché de 24 x 36 numérisé avec un pas d'échantillonnage de 25 microns comporte 960 x 1440 pixels ( points élémentaires ). Etant donné qu'un écran standard permet de visualiser 512 x 512 pixels, il est nécessaire de disposer d'un logiciel permettant de réaliser un zoom sur le fichier ( sous-échantillonnage par prélèvement de 1 point sur N ), et de visualiser à pleine résolution n'importe quelle partie de taille 512 x 512 pixels dans le fichier. Ce besoin est encore plus évident si on échantillonne le cliché à 12,5 microns.
Une fois que la zone d'intérêt du cliché est visualisée, il peut être nécessaire ( cas de sources lumineuses faibles ) de "manipuler" l'image pour mettre en évidence une source ou un spectrogramme. Les outils classiques dans ce domaine satisfont ce besoin : changement de FTL ( fonction de transfert de luminance ), pseudo-couleur, seuillage interactif.
Pour désigner au système la source lumineuse que l'on se propose d'étudier, il faut disposer d'un outil du type "manche à balai" qui permet d'introduire dans un programme les coordonnées dans l'écran du point choisi. Un zoom local permet de désigner le centre de cette source avec une bonne précision.
5.2. - DESIGNATION DU SPECTROGRAMME -
Si la source lumineuse étudiée se trouve au voisinage de l'axe optique de l'appareil photo, et donc du réseau de diffraction, le spectrogramme se trouve le long d'un axe dé diffraction parfaitement rectiligne que l'on pourrait situer par rapport à la source à l'aide d'un seul point. Cependant, les tests ont prouvé que si la source s'approchait des limites du champ angulaire de l'objectif, l'approximation par une droite ne suffisait plus : la succession des ordres de diffraction semble constituer une ligne polygonale qu'il faut approcher plus finement.
Après divers essais et calculs, il s'est avéré que la façon la plus efficace de désigner le spectrogramme était une ligne polygonale dont l'opérateur désigne les sommets sur l'écran. Pour réaliser cette opération, il faut pouvoir "tracer" dans un plan graphique associé à l'image des segments de droite, et s'assurer de leur bon positionnement à l'aide d'un zoom interactif agissant simultanément sur l'image et le plan graphique.
5.3. - PROBLEMES LIES A LA SATURATION -
Sur le plan théorique, une première étude avait permis d'identifier deux outils de logiciel puissants pour améliorer l'extraction de spectres :
Le calage transversal des points du spectrogramme mesurés, par recherche d'un maximum de corrélation avec la coupe densitométrique transversale de la source désignée.
L'affinage du spectre extrait par déconvolution par la coupe densitométrique longitudinale de la source, qui n'est jamais vraiment ponctuelle.
Le fait que l'appareil photographique utilisé soit à pose automatique ( non contrôlable ) a pour conséquence immédiate que les sources lumineuses peu étendues photographiées de nuit apparaissent saturées. Dans le cas de sources assez puissantes ( lune, réverbère pris de près ), les ordres + 1 et - 1 du spectrogramme sont eux-mêmes partiellement saturés.
Les calculs de corrélation avec l'image de la source, que ce soit en monodimensionnel dans le sens longitudinal ou transversal, ou en bidimensionnel, ne sont donc pas possibles, et la meilleure approximation est obtenue, comme décrit précédemment, par interaction de l'opérateur.
5.4. - SUPERPOSITION DE L'IMAGE ET DU SPECTROGRAMME -
Si le fond du cliché étudié n'est pas franchement obscur, il convient d'essayer de retrancher sa contribution au signal prélevé le long de l'axe de diffraction. Puisqu'il s'agit d'une information "parasite" purement déterministe ( le paysage ), le seul procédé standard consiste à l'évaluer le long d'une ( ou deux ) ligne(s) parallèle(s) à la diffraction, aussi près que possible du spectrogramme.
Un outil de désignation interactive d'une ( ou deux ) ligne(s) polygonale(s) parallèle(s) à celle le long de laquelle le spectre est extrait a donc été développé.
L'utilisation de cet outil est délicate, car la soustraction d'un fond conduit à des résultats faux dès que le signal global est saturé.
Il est donc recommandé d'effectuer une première extraction de spectre sans soustraction de fond , afin d'identifier d'éventuelles zones de saturation, avant de procéder à l'extraction finale.
5.5. - CALIBRATION EN LONGUEUR D'ONDE -
La calibration en longueurs d'onde d'un spectre extrait doit pouvoir être effectuée à deux niveaux :
si l'on peut disposer d'un ou de plusieurs clichés de calibration réalisés avec la même chaîne optique que la photographie étudiée ( appareil + réseau + rouleau de film), et comportant des spectres de raies fines des longueurs d'onde connues, une procédure interactive de mesure directe permet de déterminer avec une bonne précision la dispersion ( en principe linéaire ) du dispositif.
si ce n'est pas le cas, une dispersion moyenne peut être prise en compte par défaut.
Il est à noter que le système actuellement développé suppose un coefficient de dispersion constant le long de l'axe de diffraction, ce qui ne se vérifie que dans une première approximation. En particulier, une constante de dispersion mesurée sur un ordre + 1 ou - 1 conduit à un calage spectral imprécis pour un ordre de + 2 ou - 2, et vice-versa. Seule la constitution d'un catalogue de clichés de calibration permettrait d'approcher un modèle de calage spectral plus élaboré.
En ce qui concerne la réalisation de clichés de calibration lorsqu'il reste des vues à prendre sur un rouleau, les priorités à respecter sont les suivantes :
Photographier au moins une source se présentant sous la forme d'une fente fine perpendiculaire à l'axe de diffraction, avec un spectre de raies connues comprises dans le domaine d'intérêt ( 4000 Å à 6300 Å ). Cette source, qui doit être placée dans l'obscurité dans l'axe optique de l'appareil, peut être par exemple une lampe au cadmium ou au mercure.
Photographier la même source placée en différents points du champ angulaire, et en particulier dans un coin, afin d'effectuer ultérieurement la calibration à partir de la position angulaire la plus proche de celle de la source étudiée. Cette précaution permet d'affiner la précision en englobant dans la calibration les "perturbations géométriques" en-dehors de l'axe du réseau.
5.6. - CALIBRATION EN DENSITE -
Dans l'état actuel du système, aucune calibration en densité n'est effectuée, car son utilité ne pourra être démontrée qu'à partir d'une étude statistique sur les composants de la chaîne optique. L'objectif essentiel se limite à localiser les raies spectrales et à comparer leurs amplitudes relatives à l'intérieur du spectre.
Cependant, il serait simple d'introduire une telle calibration, si elle se révélait utile, sous la forme de photographies de mires en densité. L'opérateur pourrait ultérieurement, sur son écran, désigner les zones de l'image représentant des valeurs données de densité optique, et le traitement à effectuer se résumerait à une simple modification de la Fonction de Transfert de Luminance ( FTL ).
6.1. - ORGANISATION GENERALE -
Un programme interactif "XSPECT" d'extraction de spectres a été développé, mettant en jeu les équipements suivants :
MITRA 15, avec un disque, une unité de bandes magnétiques, une imprimante électrostatique.
Console TRIM de traitement d'images, avec 2 mémoires d'images ( 512 x 512 pixels ) et leurs plans graphiques associés, le manche à balai et les touches de fonctions.
Console graphique TEKTRO ( 4000 points ) et son clavier.
Imprimante VERSATEC.
Ce programme, écrit en FORTRAN et chargé en overlay, est articulé autour d'un "menu" d'actions que l'utilisateur peut déclencher à son gré. L'interaction homme-programme se fait sur la TEKTRO en ce qui concerne les informations alphanumériques, et sur l'écran de la TRIM en ce qui concerne les images. Les tracés de spectres sont faits sur la TEKTRO, et l'utilisateur peut à tout instant obtenir une copie sur papier du contenu de l'écran de cette console.
Les images numérisées ( étudiées ou de calibration ) sont stockées sur bandes magnétiques, et les commandes élémentaires offertes à l'utilisateur au menu sont les suivantes.
FI : fin d'utilisation de XSPECT
ME : édition du menu sur la TEKTRO
ML : passage en mode local de manipulation d'image
LS : lecture de la source étudiée sur bande
LC : lecture de l'image de calibration sur bande
ES : désignation interactive des éléments utiles du cliché à étudier
EC : désignation interactive des éléments utiles de l'image de calibration
SB : tracé des spectres bruts de la source étudiée et éventuellement de celle prise pour calibration
CC : Calcul de calibration, lorsqu'existe une image de calibration
SF : calcul et tracé du spectre final, avec ou sans soustraction du fond.
6.2. - ETAPES DU TRAITEMENT -
Les commandes élémentaires listées précédemment déclenchent respectivement les tâches suivantes :
FI : Rembobinage de la bande couramment montée et sortie du programme.
ME : Effacement de l'écran de la TEKTRO et édition du menu de commandes.
ML : Accès aux outils de manipulation locale de l'image visualisée sur l'écran. Cette fonction est particulièrement utile lorsque l'on a chargé et visualisé l'image à étudier et que l'on veut la scruter en détail. Les possibilités les plus utiles sont :
le zoom
le décadrage
le seuillage ( détection des sources ténues ),
la pseudo-couleur.
LS : Chargement en mémoire d'image et visualisation de l'image à étudier. L'utilisateur indique le numéro du fichier sur la bande, le point de départ de la visualisation ( 512 x 512 à prendre sur un fichier plus grand ), le taux de sous-échantillonnage ( zoom par logiciel de 2,4 ou 8 ).
LC : Chargement identique de l'image de calibration.
ES : Introduction interactive à l'aide du manche à balai des éléments du spectrogramme étudié source et sommets d'une ligne polygonale suivant l'axe de diffraction. Au cours de ces opérations, l'utilisateur a accès aux fonctions de zoom et de décadrage, et suit l'évolution de son tracé sur le plan graphique associé à l'image.
EC : Introduction identique des éléments du spectrogramme de calibration. Pour chaque point désigné, à part la source, l'utilisateur peut introduire sur la TEKTRO la longueur d'onde correspondante.
SB : Obtention du tracé des spectres bruts, sans échelle. L'opérateur doit choisir un ordre + 2, + 1, - 1, ou - 2, désigné par la lettre A, B, C, ou D affectée d'un signe + ou - ( sans signification dans l'état actuel du programme ).
CC : Déclenchement des calculs de calibration en longueurs d'onde. La source de calibration et tous les points du spectrogramme préalablement introduits avec une longueur d'onde ( commande EC ) sont automatiquement visualisés sur l'écran les uns après les autres à pleine résolution, pour permettre à l'opérateur de raffiner leur localisation interactive avec le manche à balai. Puis, le programme calcule par moyennage sur les données introduites un coefficient de dispersion linéaire en longueur d'onde, qu'il affiche sur la TEKTRO, et conserve en mémoire jusqu'à nouvel ordre, à la place de la valeur standard par défaut.
SF : Déclenchement du calcul final et du tracé du spectre extrait. Le programme visualise automatiquement sur l'écran, et à pleine résolution, la source étudiée ( pour localisation fine ), puis l'ordre préalablement choisi ( commande SB ). L'utilisateur peut ajuster sa ligne polygonale, et décider de soustraire ou non le fond de l'image. S'il le fait, il a le choix entre une ligne polygonale parallèle à la précédente, ou deux lignes équidistantes de part et d'autre. Le programme lui permet de positionner cette ou ces lignes, de façon interactive, et de déclencher le tracé final quand il a fait son choix. Ce tracé apparaît sur la TEKTRO avec une grille de coordonnées.
Ce chapitre récapitule l'ensemble des actions standard correspondant au traitement des clichés du GEPAN.
7.1. - CLICHES DE CALIBRATION -
Il est demandé aux gendarmes qui ont des clichés à soumettre à l'analyse d'envoyer toute la "chaîne optique" : appareil, réseau et pellicule chargée. Selon le nombre de prises de vues restant à prendre, les clichés de calibration suivants sont à réaliser, par ordre d'importance décroissante :
une fente émettant un spectre de raies ( Na, Cd ou Hg par exemple ), placée dans l'obscurité dans l'axe de visée.
la même source située dans un coin du champ angulaire.
Une mire de densités.
7.2. - DEVELOPPEMENT DU FILM -
Utilisation de révélateur ILFORD ID-11 dilué ( 1 + 3 ), à 20°C, en agitant de façon intermittente durant 15 minutes, et dans l'obscurité complète ( cuve à spirales ).
Fixage à l'aide du fixateur ILFORD HYPAM
Lavage et rinçage avec l'agent mouillant ILFORD ILFOTOL, conformément aux indications du § 8 de l'annexe 2.
7.3. - NUMÉRISATION -
Utilisation de l'analyseur OPTRONICS, avec les réglages suivants :
pas d'échantillonnage : 25 microns,
taille de la fenêtre : 25 microns,
échelle de niveaux de gris : logarithmique,
plage de densités optiques : 0 à 2 D.
7.4. - EXTRACTION DU SPECTRE -
Mise en oeuvre du programme XSPECT, et production des graphes représentant les spectres bruts et finaux de la source étudiée.
7.5. - TRAITEMENT SPECIFIQULE ( OPTIONNEL )
La dynamique de l'image numérisée peut être optimisée en utilisant les ressources de l'OPTRONICS, en particulier si le cliché est très peu contrasté. En outre, pour des cas particuliers, on peut envisager une numérisation avec un pas de12,5 µm.
Dans le domaine informatique, il va de soi que des programmes particuliers peuvent être développés et utilisés au coup par coup, si l'intérêt d'un cliché le justifie. La richesse des bibliothèques de programmes spécialisés en traitement d'images disponibles peut être exploitée efficacement si ce type de travaux se révèle utile.
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